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Sandra Wagner possède un doctorat de l’université de Bourgogne portant sur les sciences de l’alimentation et l’épidémiologie. Après avoir effectué un post-doctorat au Centre de Recherche en Epidémiologie et Santé des Populations à Villejuif, elle est chercheuse en épidémiologie nutritionnelle au Centre d’Investigation Clinique Plurithématique de Nancy. Ses recherches s’intéressent à l’impact de la nutrition et du style de vie sur l’apparition de pathologies cardiovasculaires et/ou rénales et sur la progression de la maladie rénale. Elle est également membre du comité éditorial de Frontiers in nutrition.
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Après un master en biologie, il a entrepris un doctorat intitulé « Changements hémostatiques du syndrome métabolique, de l’hypertension artérielle et de l’insuffisance cardiaque : approches physiologique et physiopathologique », soutenu en 2013, qui lui a valu un prix de thèses de l’Université de Lorraine. Il a ensuite effectué un séjour postdoctoral de 5 ans en Allemagne dans l’équipe de recherche du Professeur Wenzel au Centre de recherche sur la thrombose et l’hémostase de la faculté de médecine de Mayence, où il a pu démontrer le rôle majeur des cellules immunitaires en lien avec l’hémostase dans le développement de l’hypertension artérielle. En septembre 2019, il est revenu en France à l’UMRS 1116 DCAC et a été recruté comme chargé de recherche à l’INSERM en 2020 avec un projet portant sur le risque augmenté de thrombose au cours des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
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Le Dr Florens est un néphrologue et chercheur spécialisé dans l’étude des interactions entre le cœur et les reins, notamment le cross-talk cardio-rénal impliqué dans les lésions de remodelage à long terme. Il a réalisé un post-doctorat aux États-Unis, développant son expertise en biologie moléculaire et génie génétique. Ses travaux ont mis en lumière le rôle de la cytokine IL33 dans les lésions cardiaques induites par l’insuffisance rénale aiguë. Le Dr Florens poursuit la recherche sur l’axe IL33/ST2 et aspire à créer une équipe interdisciplinaire dédiée à l’évaluation du cross-talk cardio-rénal.
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Le Dr Benjamin Deniau, MD PhD, est médecin au service d’anesthésiologie et de médecine de réanimation à l’hôpital Saint Louis, Université de Paris, France. Il travaille à l’unité INSERM 942 dirigée par le Professeur Alexandre Mebazaa. Ses recherches portent sur les biomarqueurs cardiovasculaires dans des conditions de stress. Son doctorat portait sur la dipeptidyl peptidase 3 (DPP3) en tant que facteur dépresseur du myocarde dans l’AHF septique et catécholaminergique.
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Vincent Dupont est néphrologue au CHU de Reims et chercheur à l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Sa recherche est centrée sur les complications vasculaires des maladies rénales. Sa collaboration avec le Dr Karumanchi (Cedars Sinai Medical Center, Los Angeles, CA, USA) a notamment permis la mise en lumière de nouvelles pistes de recherche dans le but de mieux comprendre la physiopathologie de la prééclampsie. Il travaille également sur l’optimisation de la fonction du greffon en post transplantation rénale.
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Madonna Salib possède un doctorat de l’Université de Lorraine portant sur les biomarqueurs de la fibrose myocardique et de la rigidité artérielle chez les patients en insuffisance rénale terminale. Elle est cheffe de projets de la Cohorte CKD-REIN au Centre de Recherche en Epidémiologie et Santé des Populations à Villejuif. Elle a travaillé dans plusieurs pays comme étudiante et scientifique invitée (Espagne, Portugal, USA). Par ailleurs, elle a un master en qualité et analyse de données. Enfin, une chercheuse avec un intérêt pour l’identification de phénotypes biologiques basés sur des biomarqueurs et l’implémentation de l’IA afin d’établir des stratégies de traitement personnalisés.